Sauf à vivre coupé du monde, vous avez forcément entendu parler de la sortie du DJI Neo la semaine dernière. Ce cinéwhoop « grand public », proposé à un prix étonnamment bas de 199€, fait déjà beaucoup de bruit. C’est en effet une somme modique comparée aux 249€ demandés pour le DJI O3 seul, alors que le Neo pourrait bien embarquer un DJI O4. Cerise sur le gâteau, il filme en 4K avec une autonomie confortable d’environ quinze minutes, surpassant de loin les cinéwhoops DIY classiques. De plus, il est compatible avec les lunettes Goggles 2, Goggles 3 et Integra, ainsi qu’avec les radiocommandes DJI RC v2 et RC3 (EDIT : ma source était erronée ou trop anticipée concernant la rétrocompatibilité). En revanche, on peut supposer que cette accessibilité se fait peut-être au détriment de la polyvalence…
Le DJI Neo poussé jusqu’à ses limites
Et pourtant, le spécialiste du vol à vue quadmovr nous démontre dans cette vidéo que le Neo est capable de réaliser de nombreuses manœuvres acrobatiques en mode de pilotage manuel. Cela dit, on ne peut s’empêcher de ressentir une pointe de malaise en entendant le pauvre drone forcer ainsi. Il est évident qu’il atteint ses limites, mais il faut lui reconnaître le mérite d’y parvenir, d’autant plus qu’il n’est absolument pas conçu pour ce type de voltige !
Nous n’avons pas encore eu l’occasion de le tester mais si vous cherchez des informations à son sujet, n’hésitez pas à consulter l’énorme test d’HelicoMicro.